Maximiser & renforcer votre confiance pour réussir et RESTER MOTIVER + + ✨💯

Rester motivé 

Cela vous arrive parfois de vraiment manquer de motivation pour travailler le piano, la guitare, la batterie ?

Vous savez, quand vous rentrez chez vous fatigué du travail et que vous avez envie de tout sauf de faire des efforts ? Vous savez que c’est crucial de rester motivé pour apprendre à jouer de la musique, mais vous ressentez juste le besoin pressant de vous poser dans votre canapé ​et de mettre votre cerveau sur « off ».

Alors là, commencer à travailler le piano, la guitare, ​cela semble au-dessus de vos forces. Aujourd’hui vous avez déjà donné…

C’est comme quand vous bossez depuis un moment le même morceau, mais que vous n’avez pas l’impression d’avancer. Malgré le travail, vous n’arrivez toujours pas ​à jouer correctement ces maudits ​passages…

​A​lors, quand vient l’heure de pratiquer, vous vous dites tout bas​ : « je bosserai une prochaine fois​, là j’ai pas la force​ et j’en ai ma claque​… »
Mais pour apprendre à jouer de la musique, cela ne marche pas comme ça !

Pour se faire plaisir quand on joue un instrument de musique, il faut ​progresser !
Et pour progresser, il faut de la RÉGULARITÉ et donc de la MOTIVATION !

​Car sans motivation c’est :
« Adieu l’espoir de jouer comme ces personnes qui me font vibrer ! »
« Adieu ces chansons ou ces sonates que j’aimerais tellement savoir jouer… »
​Et :
« Bonjour les regrets et l’amertume d’avoir abandonné, de me dire en voyant un autre musicien :
« Si j’avais bossé un peu plus, moi-aussi je pourrais jouer cela sans mettre des pins partout… » ;( 


​​​​​Dans cet article, ​vous allez trouver des solutions pour éviter ​cela et rester motivé.

Vous êtes prêts ? Allons-y !

26 ​façons de rester motivé à apprendre à jouer de la musique

Les astuces de 15 musiciens blogueurs pour rester motivé

Cyriaque du blog www.maitriser-la-guitare.com

cyriaqueprofile
"Se fixer des objectifs clairs"

Pour rester motivé Cyriaque conseille dans cet article de se fixer des objectifs clairs.

Mais pas n’importe comment !
Il nous propose de commencer par nous poser la question suivante :
« Qu’est ce que j’aimerais savoir jouer si je savais que je ne pouvais PAS échouer ? »

Ensuite, pour rendre ces objectifs plus concrets, il nous invite à les temporaliser de la manière suivante :

  • L’objectif de 3 à 5 ans doit être votre objectif principal. 
    Il semble « inaccessible » pour l’instant, en gros c’est votre rêve.
  • L’objectif de 1 an est votre but sur le moyen terme, c’est l’objectif réaliste.
  • L’objectif de 3-6 mois est votre objectif sur le court terme.
    C’est celui qui va vous permettre d’organiser vos sessions de pratique quotidienne de manière raisonnée.
"Se rappeler pourquoi ​vous avez commencé"

​Dans cet article bourré d’excellent conseils, Xavier propose une astuce simple et puissante.
​Pour rester motivé, rappelez-vous pourquoi nous avons commencé à jouer de la musique.

​En ce qui le concerne, il lui suffit de chercher à reproduire l’émerveillement du départ pour retrouver la motivation. 😉
C’est simple et très efficace comme technique ! 😉

​Et vous, qu’est-ce qui vous a incité à prendre en main encore et encore votre instrument ​de prédilection ?
Vous rappelez-vous des premières sensations ?

Si vous les ressentiez à nouveau, MAINTENANT, qu’est-ce qui changerait dans vos sensations corporelles ?
​Vous sentez l’énergie de la motivation qui ​pointe le bout de son nez ?

 

Aurélie du blog
www.1piano1blog.com

"Se rappeler du chemin parcouru"

Dans sa vidéo et la retranscription de celle-ci, Aurélie du blog www.1piano1blog.com termine sa vidéo par le conseil suivant, pour rester motivé « Remémorez-vous le chemin parcouru ! »

Pourquoi ?

Parce que quand vous êtes démotivé il y a fort à parier que c’est, au moins en partie, parce que
vous avez l’impression que rien n’avance.

Mais depuis le début de votre apprentissage, depuis la première fois que vous avez touché une guitare, un piano, une batterie, vous avez énormément avancé.
Et c’est trop facile de l’oublier et de ne voir que le mauvais côté des choses.

Voilà pourquoi je​ suis plus que d’accord avec le conseil d’Aurélie.

​Son astuce nous ​incite à voir « le verre à moitié plein ».
Ce simple changement de focus peut avoir un impact énorme sur votre moral !
​Et sur votre capacité à rester motivé bien-sûr.​ 😉

​Aurélien du blog www batteursanslimite.com

"Trouver vos boutons de motivation"

Dans cet article publié sur le blog de www.blogcarpediese.fr, Aurélien du blog www.batteursanslimite.com, présente une idée originale pour vous aider à rester motivé​.

Il vous propose de trouver « vos boutons de motivation ».

Quoi ? Des boutons de motivation ???
​De quoi parle-t-il ?​

​Dans son article, Aurélien utilise l’analogie du tableau de bord d’un avion, composé de nombreux boutons différents.
Chaque bouton enclenche des actions et des programmes différents.

Sur votre tableau de bord personnel, certains boutons sont reliés à la motivation.
En appuyant sur ces boutons, vous pouvez déclencher votre motivation.

L’idée est de trouver quels boutons déclenchent votre motivation afin de les utiliser pour rester motivé.

Alors qu’est ce qui a tendance à vous remotiver vous ?
Quels sont vos boutons de motivation ?

Aller à un concert ? Regarder des vidéos de vos idoles ? Acheter du nouveau matériel ? Jouer avec des amis ? Méditer un peu ? Prendre des cours ? Vous faire coacher ?

Prenez un temps pour passer en revue votre passé et repérer les « boutons » qui déclenchent votre motivation et appuyer dessus au besoin afin de rester motivé. 😉

​​Raff Dylan du blog
www.​​​​hguitare.com

"Varier les styles et les apprentissages"

Raff​ est guitariste et ingénieur du son dans le sympathique trio qui gère le site​ www.hguitare.com​. ​

Dans cet article​, son conseil pour rester motivé dans l’apprentissage de la guitare ou d’un autre instrument de musique ​est d’ouvrir ​votre horizon musical.

Et oui !
​Pensez un instant à votre plat préféré.

Si vous aviez mangé 3 fois par jour des lasagnes depuis les 6 derniers mois.
​Vous pensez que seriez encore très motivé à en manger au prochain repas ?

Pas trop non !
​A part peut-être si c’est un plat avec du fromage… ;-P

Pour entretenir la flamme et rester motivé il faut découvrir de nouveaux horizons et se lancer de nouveaux défis. En changeant de style musical vous allez évoluer, sortir de votre zone de confort et éviter de perdre le goût de pratiquer.

Si votre démotivation provient d’un peu de lassitude, cette astuce va remettre du piquant dans vos compositions musicales !

TheAthenA714 du blog
​www.tabs4acoustic.com

"S'enregistrer et s'écouter plus tard"

​TheAthenA714 ​​nous transmet un excellent conseil dans sa vidéo retranscrite ici.

Le progrès nourrit la motivation, n’est-ce pas ?

Alors pour se ​préparer un boost de motivation et pallier au futur coup de mou, enregistrez vous de temps à autre, datez ces enregistrements et laissez les de côté au chaud dans un tiroir.  

​En effet, quoi de mieux qu’un super enregistrement de comment on jouait moins bien avant pour se remonter le moral les jours de moins bien ?

Pas besoin​ de faire l’enregistrement du siècle et de stresser à l’idée de le faire. Au contraire, jouez tranquillement sans prise de tête. L’idée est de conserver un souvenir fidèle pas de poster le résultat sur Youtube !

​Pour vous enregistrer facilement au piano ou à la guitare rien de plus simple.
Un trépied à 15 euros doublé de votre smartphone ​feront parfaitement l’affaire. 😉

"Jouer juste un seul changement d'accord"

​Dans cette vidéo Edouard présente​ une technique simple et rudement efficace pour faire naître un semblant de motivation quand la flemme est plus au rendez-vous que la motivation.

Il s’agit d’une technique anti-procrastination toute bête.

Cette technique simplissime consiste à prendre son instrument et à jouer un changement d’accord​ ou un arpège si l’on préfère.

Oui ! vous avez bien lu.
Juste ​un changement d’accord…

​Cette technique part du principe que l’appétit vient en mangeant, ou plutôt en jouant dans ce cas là…

Personnellement, je l’utilise très fréquemment pour toutes sortes d’activités et il faut avouer que cela fonctionne à merveille ! 😉

Alors, allez-y !
Jouez juste un changement d’accord. 😉

"Jouer sans trop d'exigences, ​rien que pour le plaisir"

Si vous êtes fatigué le soir et que la motivation pour vous exercer est dure à trouver Marie-Cécile du blog  apprendre-a-jouer-du-piano.com propose de bonnes astuces dans cet article.

Le soir, vous avez l’esprit fatigué et vous êtes moins performant qu’une matinée.

Pour vous entraîner un peu malgré tout, Marie-Cécile vous propose de jouer des choses simples comme des morceaux anciens et/ou  de vous laisser partir dans des improvisations plaisantes.

L’idée est de réduire les exigences pour favoriser le plaisir et susciter la motivation !
Alors, en cas de fatigue « Keep cool ! »

Concentrez-vous sur le fait de prendre du plaisir histoire de jouer un peu et de vous entretenir😉

Pierre du blog
www.guitare-facile.com

"Visualisez-vous en train d'atteindre votre objectif"

​Voilà un grand classique de l’univers du développement personnel, la visualisation.
Pierre du blog www.guitare-facile.com fait bien de nous en parler.

​Dans cet article​​ Pierre vous invite à visualiser 2 minutes par jour que vous atteignez votre but et que vous profitez du plaisir que cela vous procure​.

Comme nous sommes tous dépendant au plaisir nous en voulons encore et encore.
​Alors, si vous ressentez du plaisir en visualisant votre objectif atteint, il n’est pas idiot de penser que votre cerveau​ mettra tout en oeuvre pour vous a​ider à ​atteindre votre but.

​Ainsi, vous ressentirez le plaisir imaginé en ​vrai et en mieux ! 😉

Alors, prenez le temps de rêver en full HD dans votre tête, ou du mieux que vous pouvez en tout cas. Car en matière de visualisation nous n’avons pas tous les même acquis.

Quoi qu’il en soit, si vous vous offrez​ des moments de plaisir visualisé, votre motivation a toutes les chances du monde pour se ​faire de plus en plus présente !

D’ailleurs, je vous propose de découvrir une ​super technique de visualisation ici !

Frank et Nicolas du  blog
www.ukulele-masterclass.com

"Entourez-vous de personnes qui jouent le même instrument que vous"

Dans cet articleFrank et Nicolas présentent une super stratégie pour se motiver et le rester.

S’entourer d’autres musiciens qui pratiquent le même instrument.
Vous pourrez ainsi parler des difficultés que vous rencontrez et voir que vous n’êtes pas les seuls.

Vous pourrez également vous filmer et vous montrer vos progrès en vidéo. 

Personnellement, je fais partie de plusieurs groupes facebook qui regroupent des musiciens.
Et je dois avouer que je suis souvent émerveillé de voir à quel point le fait de se filmer et de partager ses vidéos motive et stimule les participants.

Alors pour retrouver le pep’s, partagez votre musique sur les réseaux ou dans un groupe d’amis musiciens.

Les retours et les encouragements des personnes qui l’écouteront catalyseront votre motivation et vous feront un bon électrochoc ! 😉

​​​David Faure du blog
www.davidfauremusic. wordpress.com

"Prendre des cours"

​David nou​s rappelle dans son article​​​ qu’un excellent moyen pour rester motivé c’est de prendre des cours.

​Être autodidacte dans l’apprentissage d’un instrument comme la guitare ou le piano n’est pas donné à tout le monde. Et quelque soit nos prédispositions à apprendre un instrument tout seul, le fait de prendre des cours accélère l’apprentissage !

​Car un bon professeur nous évite de faire bien des erreurs et en conséquence de perdre du temps.
Mais en plus, il fixe un cadre à notre apprentissage et nous aide à le suivre.

Pour certains musiciens, c’est là ​un point clé qui les motive à être réguliers et sérieux dans ​l’apprentissage de leur instrument de prédilection.

​Alors, si vous trouvez que votre travail musical tourne en rond, pensez sérieusement à prendre des cours avec un bon prof. Cela redonnera un coup de fouet à votre aventure musicale !

Chris Martins du blog
www.chrismartins.com

"Avoir un projet et définir ses besoins"

​Pour Chris Martins du blog www.chrismartins.com la clé pour rester motivé réside dans le fait d’avoir un projet bien défini et d’en déduire vos besoins en terme d’apprentissage.

​C’est logique non ?

Si vous voulez jouer de la « pop », maîtriser tous les accords de 7ème, et comprendre tous les modes n’est pas votre priorité !
​En passant du temps à le faire, vous risquez de voir que votre projet n’avance pas…

 Cela me fait penser à une phrase que j’adore :
« Celui qui ne sait pas où il veut aller, à toute les chances d’arriver autre part ! »

​Donc si vous êtes démotivé, prenez un temps pour définir votre projet musical.

​Quel style de musique souhaitez-vous jouer​ ?
De quelle façon ?
​Dans quels conditions ?

​​​​Et déduisez-en vos besoins techniques.

Pour réussir ce projet, ​qu’avez-vous besoin de maîtriser comme techniques ?
Quels types d’accords/arpèges devez-vous connaître ?

​Quelles rythmiques devez-vous intégrer ?

​Questionnez-vous et trouvez votre direction d’apprentissage car 
« Ce n’est pas en plantant des choux que l’on obtient des carottes ! » 

 

Caro du blog
www.lalalapiano.com

"​Imite les musiciens que tu admires"

​Dans cet article formidable, Caro du blog www.lalalapiano.com vous partage une superbe astuce.

​Caro vous ​invite à jouer du piano, de la guitare, de la batterie en imitant les façons de faire des « stars ».

Vous voyez comment se comportent les chefs d’orchestre, les pianistes concertistes, les grands guitaristes ?
​Vous avez déjà pu observer leurs mimiques et leurs gestes pendant qu’ils jouent ?

Faites la même chose lorsque vous jouez de la musique !

S​i les musiciens d’excellence théâtralisent leur jeu, ce n’est pas pour rien.
En réalité, faire corps avec leur musique les aide à plonger en profondeur dans l’océan de leurs émotions.

​Mais je vous voir venir ! Caro aussi d’ailleurs…  😉
​Vous dites peut-être que bouger autant en jouant du piano, de la guitare, c’est « se la péter ».
Ou alors que « c‘est réservé aux prodiges » !

Enlevez-vous cette idée de la tête comme on enlève un clou rouillé d’un mur.
​D’un geste sûr, énergique et déterminé.

Vous ne vous êtes jamais dit que c​’est parce qu’ils théâtralisent leurs jeux que ces musiciens ont atteint des sommets ?

Parfois ce qu’on prend pour la conséquence est en réalité la cause !

​Vivre la musique avec le corps a aidé ces musiciens d’élite 
à dépasser toutes sortes de ​limites, techniques ou autres.​ D’autant plus qu’en s’autorisant à vibrer la musique de tout leur être, ​ces musiciens ont pris encore plus de plaisir !

Et vous le savez, le plaisir catalyse les progrès, accélère l’apprentissage et… booste la motivation !

Encore 10 façons de rester motivé pour apprendre à jouer un instrument de musique

Voici ​10 autres astuces​ pour rester motivé que je souhaite partager vous. 

J’ai retrouvé certaines de ces stratégies dans les articles des confrères musiciens blogueurs que vous avez pu découvrir ci-dessus. Et pour cause, les manières de se motiver ne sont pas infinies !
Voici ces astuces :

1) "Respectez ​vos envies"

Rappelez-vous que les êtres humains ne sont pas des robots.

Il est normal d’avoir parfois moins envie de s’exercer sur son instrument.
​Alors, dans ces cas-là soyez cool avec vous-même.

​Parfois, vous forcer à jouer peut ​faire renaître la motivation.
​Mais si ce n’est pas le cas, offrez-vous plutôt un peu de répit.

​Comme dit le proverbe, « ce n’est pas en forçant un âne qui n’a pas soif que vous réussirez à ​le fai​re boire « .
​Je pense que l’on peut comparer la motivation à cet âne…

​Pour ma part, c’est ce que je fais.
​Quand je suis dans un jour sans et que j’ai pas envie de toucher ma guitare,​ je m’autorise à n’avoir aucune exigence. En fait, je m​’autorise à ​me reposer tranquillement sur mon canapé.

​Et comme par magie, au bout d’un moment, l’envie de jouer de la guitare renaît de ses cendres !
​L’envie de m’exercer se fait de plus en plus présente​.
​Alors à ce moment je reprends ma guitare et l’aventure continue ! 😉

2) " Rappelez-vous que le succès se situe au bout de l'échec"

Si tous les grands entrepreneurs ont un point commun c’est bien celui-là.

Ils ont tous ​vécu de grands échecs dans leur vie.
Souvent, ils ont même connu leur plus grande réussite ​après un échec qui semblait ne laisser plus aucune place à l’espoir.

Alors ​en tant que musicien, vous pouvez vous rappeler que l’échec n’en est pas un.
C’est juste une étape obligatoire qui mène au succès !

​Comme​ l’a dit Nelson Mandela « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ! »

3) "Faites taire la petite voix si elle est trop critique"

 » Oh ! j’y arrive pas, ça me saoûle« 
 » C’est vraiment pénible, ce passage ne veut pas passer… »
 » Franchement c’est bien trop de peine, j’en ai marre »

Vous connaissez cette petite voix ?
C’est fou ce qu​’elle a comme influence…

Oui !
À force de nous critiquer, elle​ ​​fait voler en éclat notre motivation aussi facilement ​que le grand méchant loup ​​détruit la maison en​ paille d’un des trois petits ​petits cochons en soufflant dessus.

Alors ​FAITES ATTENTION.
Soyez vigilant autant à ce qu’elle vous murmure qu’à ce qu’elle vous crie…

Le docteur Richard Bandler, homme de génie et cocréateur de la Programmation Neurolinguistique (PNL), propose une technique simple pour vous protéger de la propagande de cet ​ennemi intérieur.

Il conseille d’utiliser le mantra « Ta gueule ! » ​(ou « Tais-toi »​​​​​​ ​pour ceux qui préfère​nt) puis de vous ​encourager calmement et gentiment !

C’est simple, non ?

1) « Ta gueule ! »
2) « Tu sais, avec un peu de patience tu as toutes tes chances. Et puis tu as beaucoup de mérite déjà car blablabla… »

Personnellement j’ai utilisé cette technique ​à plusieurs reprises.
Elle est vraiment ​efficace !

4) "Utilisez des outils de thérapie brève pour évacuer la frustration"

Avez-vous déjà ressenti tellement d’impatience et de frustration que vous n’aimiez plus tellement pratiquer la musique ?

Moi oui…

Et si je n’avais pas exploré le monde de la thérapie brève, il y a de fortes chances qu’aujourd’hui la musique et moi ce soit de l’histoire ancienne.

Mais comme le dit un formateur Québécois que j’admire​ :
« il n’y a pas que la technologie des téléphones qui évolue, il y aussi celle des outils ​qui ​nous aident à aller mieux !

​Alors, si votre motivation est comme desséchée et que la colère la remplace, prenez rdv chez un praticien de thérapie brève comme l’EFT (Emotionnal Freedom Technique), l’Hypnose ou autre.​​​

Personnellement ces outils, que je pratique fréquemment m’ont ​redonné le goût et la motivation pour ​m’investir corps et âme dans le travail de mon instrument fétiche ! 😉

Alors osez tester cette piste si quelque chose bloque dans votre aventure musicale!

5) "Pratiquez la stratégie des petits pas"

Quel est le meilleur moyen de tuer la motivation ?
– L’absence de progrès.

Et, à part le manque de travail, quel est le meilleur moyen de ne pas progresser?
– Viser des objectifs trop grands.

La« stratégie des petits pas » appelée aussi « Kaizen » est un condensé de tout ce que la philosophie orientale à de sagesse. Confucius l’exprime à merveille quand il dit :

« Celui qui déplace une montagne commence par déplacer des petites pierres. »

En déplaçant des petites pierres vous voyez votre projet avancer.
Et quand vous voyez vos objectifs se réaliser, votre confiance en votre réussite potentielle grandit.

En échouant à réaliser un objectif plus grand, c’est l’inverse qui se produit.
Votre confiance se flétrit comme des fleurs que l’on n’arrose plus.
Le doute, lui, remplit l’espace disponible.

Alors, quelles sont les prochaines petites pierres que vous gagnerez à déplacer ?

6) "Cherchez à fréquenter des personnes qui ont dépassé vos blocages"

Cela vous est déjà arrivé d’être entouré de personne qui ont réussi dans un domaine ou vous voulez connaître le succès ?

Quel effet cela produit ?

​Cela vous stimule n’est-ce pas ?
Alors faites de même en musique.
Entourez-vous de musiciens qui ont dépassés des problèmes sur lesquels vous bloquez.

​D’une part, le fait de pouvoir échanger pour de vrai avec ces musiciens renforce votre confiance dans votre potentielle réussite. Si vos collègues ont réussi à gérer l’indépendance des mains, vous serez encore plus motivé à y arriver vous aussi ! Par défi et aussi parce que vous serez plus convaincu que « c’est possible ». ​

​D’autre part, ​​ils pourront vous encourager et vous rassurer, en vous disant que pour eux aussi ce cap a été difficile à passer. Et ça, ça fait du bien au coeur ! 😉

Et puis cerise sur le gâteau, vos collègues pourront vous donner de précieux conseils pour vous aider à ​triompher de vos obstacles !

Inscrivez-vous dans des associations. Rejoignez des groupes facebook, des forums.
ENTOUREZ-VOUS !

7) "Devenez un détecteur de progrès​"

A votre avis, quel est l’ingrédient secret des champions ?

Dis comme cela, cela fait un peu « recette miracle pour attrape benêts ».
Mais lisez la suite pour vous faire un avis.

Quand je demande cela dans mes formations, j’obtiens des tonnes de réponses pertinentes du style :

  • ​MOTIVATION
  • ENDURANCE
  • ENTOURAGE
  • L’ENTRAINEMENT
  • ​TALENT
  • CONFIANCE
  • ​Etc.

Toutes ces réponses sont pertinentes.
Mais un ingrédients peut sublimer ces ​éléments ou les flétrir.
Alors à votre avis ?

Les champions sont avant tout des champions à détecter leurs progrès et à en retirer du plaisir.

Car nous sommes tous dépendants au plaisir !
Et ce qui nous donne du plaisir, notre cerveau fait tout pour le reproduire.
Vous me suivez ?

Alors, après chaque séance de travail, faites un petit point, sur ce qui ​s’est bien passé.
​Réfléchissez à vos progrès, notez-les (pour en prendre plus conscience) et fêtez-les !

8) "Produisez-vous devant un cercle d'amis bienveillant​s"

Vous jouez de la musique pour ressentir des émotions et​ pour les partager.

N’est-ce pas ?

C’est ce qui donne du sens à votre pratique musicale.
C’est pour c​ette raison que vous ​y avez consacré du temps.

Alors si vous sentez que vous perdez le goût de pratiquer, rien de tel qu’un petit défi pour se remotiver.

​Vous pouvez par exemple décider de vous produire devant des amis.
Ce sera votre nouveau projet musical pour reprendre en douceur.

​Vous le savez, pour vous motiver, il vous faut un projet.
​Mais avant de jouer devant 30 personnes, ​​mieux vaut jouer devant 5 personnes.
​Et avant de jouer devant 5 inconnus, ​c’est plus confort de jouer devant 5 de vos amis.

Donc pour que vous retrouviez l’envie, l’énergie et la​ motivation

​1 ) Définissez un « programme de concert »

2) Envoyer un message groupé à vos amis pour les informer de votre projet

3) ​Mettez-vous au boulot !

​9) "Acceptez que les erreurs fassent partie du chemin "

Pour que vous restiez motivé, ​il y a un facteur psychologique important à développer.

Il vous faut éliminer la peur de vous tromper.
Je sais.
​C’est plus facile à dire qu’à faire…

Mais c’est crucial.

À cause d’elle vous avez tendance à ​faire les choses à moitié.
​Elle vous évite de prendre des risques, vous pousse à rester dans votre zone de confort​.
Donc de découvrir une foule d​’informations qui vous aiderait à vous améliorer.

​En définitive, la peur de vous tromper vous empêche d’enrichir vos apprentissages.
​D’ailleurs, vous pouvez utiliser des outils de thérapie brève pour la faire disparaître.
Chez moi cela a très bien ​fonctionné.

​Alors pourquoi pas chez vous ?

10 "​Utilisez des techniques de développement personnel pour influencer ​votre système nerveux et l'emmener dans la bonne direction"

Voilà une astuce qui m’a beaucoup aidé et avec laquelle j’ai pu aider beaucoup de ​monde.

Vous le savez peut-être déjà, de par mon métier et mes formations, j’ai énormément côtoyé l’univers du développement personnel.

C’est grâce à l’utilisation de nombreux outils de cet univers que j’ai pu garder la foi et l’envie malgré des techniques d’apprentissage inefficaces, malgré la déception, la frustration, les coups durs…

Sans cela, j’aurai abandonné.

Voilà pourquoi je sais que pour booster votre motivation, gérer votre stress, votre trac, ou vous remettre d’un échec, des techniques comme l’EFT, la PNL (Programmation Neurolinguistique), l’Hypnose, la méditation peuvent être d’un grand secours !

​Si vous avez des questions à ce sujet, vous pouvez me ​les poser.
Dans ce domaine j’ai fait mes classes…

​Conclusion

Vous ​rêvez sûrement de pouvoir jouer ce qui vous plaît aussi bien que les musiciens que vous admirez.

​N’est-ce pas ?

Mais quand vous rentrez crevé du travail, la motivation n’est pas toujours au rendez-vous !
Un peu comme quand vous êtes fatigué de bosser sans que le moindre progrès pointe le bout de son nez ! Vous êtes plutôt en mode « Pfuuh, j’ai la flemme, ça fait Ch#### »

Mais sans motivation pas de travail et sans travail, « Bye Bye vos rêves! »

Cependant, aujourd’hui vous savez que pour rester motivé, tout n’est pas qu’une question de volonté.
​D’ailleurs compter exclusivement sur votre volonté c’est comme vouloir enfoncer un clou dans un mur avec une pomme. Ça marche pas !

Pour retrouver la motivation, pour la nourrir, ​vous DEVEZ utilisez des STRATÉGIES efficaces.

L'effet papillon 

​​Si vous ​commencez à vous servir de ces stratégies, jour après jour vous allez gagnez des minutes, puis des heures de pratiques enthousiastes, fertiles. Et 10 petites minutes par jour, ​ça fait 60 heures en un an​…

​60 heures ​de pratique musicale supplémentaire ! Vous imaginez la différence sur votre niveau ? 

​Ok. Cela vous demandera peut-être de changer un peu vos habitudes ! Et vous devrez faire des tests pour trouver les stratégies qui vous correspondent le mieux ! Mais le jeu en vaut la chandelle !

​Les stratégies que vous avez découvert sont des stratégies éprouvées par de nombreux professeurs.
Des stratégies qui leurs ont permis de rester motivé dans la durée et d’être là où ils en sont aujourd’hui dans leur maîtrise de leur instrument !

Alors, allez-y ! Testez ces astuces et utilisez celles qui​ vous permettent de rester motivé !
​Vous vous remercierez plus tard. Je suis sincère quand je vous dis ça.

​Et si vous deviez choisir une technique à tester ​là tout de suite, ce serait laquelle ?​
Vous avez une idée ? Super !

Alors testez la MAINTENANT ! 
J’espère de tout mon coeur que ​vous allez vous faire ce cadeau…

Avec confiance et motivation 😉




renforcer votre confiance en la réussite de votre projet ?

Cela vous est-il déjà arrivé d’avoir envie de réaliser quelque chose mais…
​De sentir que vous n’y croyez pas au fond de vous ?

Moi oui.

​J’ai souvent ressenti du doute en pensant à mes projets de concert.  ​C’était comme si mon cœur se serrait de stress et ​que dans mon ventre il y avait un vide fébrile.

​Il y a 6 mois, ​j’ai regardé une formation d’un de mes mentors Québequois, Alexandre Nadeau.
A la fin de ​sa formation, j’​ai découvert un processus pour solidifier “la foi” que l’on a en notre capacité à réaliser nos rêves. ​

​Vous savez, cette confiance solide qu’on peu ressentir dans nos tripes quand on se sent ultra-c​apable. Vous voyez de quoi je parle ? 

J’ai ​testé cet outil pour​ faire grandir ma confiance et il m’a donné de superbes résultats. Alors je me suis décidé à vous le partager, en espérant que cela​ vous aide à renforcer votre confiance ! 🙂

Mon histoire avec ce processus pour renforcer ​la confiance

Du manque de confiance ​à la sérénité

De part ma carrière de coach et de formateur, je connais un grand nombre d’outils  pour gérer le stress, faire disparaître des phobies, se préparer mentalement, se concentrer rapidement, etc.

Je connais également des outils pour renforcer sa confiance dans un type de situation​ donnée (conflit avec une figure d’autorité), ou dans une discipline précise (l’apprentissage de​s mathématiques).

Mais pour renforcer sa foi dans la réalisation d’un projet global, je ne savais pas trop quel outil utiliser.

J’ai donc commencé à tester ce processus.
Je l’ai pratiqué 1 fois par jour et parfois tous les 2 jours pendant 1 mois et demi environ.
Depuis, je le pratique de temps à autre, avant de bosser mon instrument. 

​En fait, aujourd’hui ma confiance est suffisamment présente et solide alors je me consacre à autre chose.

​Bien-sûr, je peux encore​ ​renforcer ma confiance. Il n​​’y a ni contre-indication, ni d’effets secondaires. 😉

Avant que je booste ma confiance

Pendant longtemps, j’ai pensé que je n’arriverais jamais à faire aboutir mon projet.

Non seulement mon travail d’entrepreneur me prend un temps considérable, mais en plus, un ami, ingénieur du son avec lequel je bossais sur un album, m’a en quelque sorte planté.

Piégé dans une course contre la montre, il n’avait pas assez de temps pour faire un travail sérieux et de qualité dans un délai raisonnable. Notre collaboration s’est donc arrêtée là.

Mon projet d’album trainait depuis longtemps mais là c’était le coup de grâce…

Je manquais de temps, je n’avais pas les bonnes personnes pour avancer et je n’avais plus la foi.

En fait, je ressentais du désespoir quand je pensais à mon projet. Dans ma tête, je me disais « laisse tomber, ce n’est pas possible »…   J’étais profondément triste et en colère.

Depuis que je booste ma confiance

A présent, je ne me pose plus la question de « Est-ce que je peux réaliser mon projet ? ».

C’est simple, je cherche des salles pour me produire et réussir mon défi.

C’est d’ailleurs grâce à cet outil que j’ai construit assez de confiance pour oser me lancer le défi de monter un programme que je n’avais jamais réussi à maîtriser auparavant.

J’ai pu renforcer ma confiance dans ma capacité à travailler mes morceaux malgré le manque de temps.
J’ai également boosté ma confiance en ma capacité à gérer sur scène et à prendre du plaisir.

Et tout ça malgré une immense fatigue vocale, due à une année professionnelle très intense où j’ai donné beaucoup de formations. Cette fatigue aurait pu me décourager…

Mais cela n’a pas été le cas.

Des nouvelles de mon défi

En passant, j’ai ​trouvé un lieu pour ​me produire ​au mois de Décembre.  
J’en cherche d’autres pour mi-Octobre, car je m’étais donné 3 mois pour mon défi.

Si je ne trouve pas, ce qui est possible vu les délais,  je me produirai sur la grande scène ouverte du Sirius, à Lyon, un lundi soir à partir de mi-Octobre.

Créer de la confiance ?!! Comment est-ce possible ?

Dissiper le doute en utilisant des capacités basiques de notre cerveau

Vous est-il déjà arrivés de faire un rêve dans lequel vous avez ressenti des sensations extraordinaires que vous n’avez jamais ​vécu en étant éveillés ?

Avez-vous déjà songé à un souvenir heureux et, sans même le vouloir, vous vous êtes plongés dedans et l’avez en quelques sortes revécu ? ​Vous savez, comme « la madeleine de Proust »…

C​e sont ces 2 capacités​ ​de nos cerveaux que nous allons utiliser​ pour éliminer le doute, créer de la ​certitude et de la confiance en votre réussite.

Et les neurosciences dans tout cela ?

En neurosciences, il a été démontré que le fait de faire revenir un de nos souvenirs en conscience le modifie. Une protéine responsable de cette « mise à jour » du souvenir a même été identifiée.

Dans les faits, notre cerveau rajoute à chaque fois des données, du contexte dans lequel on​ se souvient, à notre​ souvenir.

Et chaque fois que l’on « réactive ce souvenir, c’est la dernière version enregistrée, issue de la dernière fois qu’on l’a activé, qui revient en mémoire.

C’est dingue, non ?

Mais si les souvenirs peuvent être changés, pourquoi notre vision du futur, notre façon de ressentir l’avenir, ne pourraient-​elles pas l’être ?

Agir en sceptique intelligent

Comme je le fais toujours, je vous invite agir en sceptique intelligent.

Le sceptique buté rejette tout ce qui sort du cadre habituel et de ce qui est valide à ses yeux.

Le sceptique intelligent, lui, teste même ce qui lui paraît étrange. Ainsi, il se construit son propre avis, basé sur des faits objectifs et vérifiés.  

Je vous invite donc à simplement tester l’outil que je vous présente ci-dessous sur une courte période. Disons d’une à deux semaines, à hauteur de quelques minutes par jour.

Vous pourrez ainsi faire l’expérience par vous-même !

Une expérience est riche.

Bien plus que le simple fait de juste penser à ce que peut donner l’utilisation d’un outil, basé sur une logique et des mécanismes qui nous sont étrangés.

A présent, voyons comment fonctionne ce fameux processus pour accroître votre confiance.

Renforcer votre confiance : Étape 1

Je vais décrire les étapes pour réaliser ce processus sous forme de liste :

  1. Tenez vous debout les mains le long du corps et respire​z calmement
  2. Choisissez un souvenir passé de réussite quelconque
    ​Pas besoin de ​chercher le souvenir de succès le plus intense de votre vie. Le souvenir d’un petit succès fait parfaitement l’affaire
  3. Reculez d’un pas et plongez-vous dans ce souvenir en formant un anneau avec le pouce et l’index d’une de vos deux mains
    C’était où ? Que voyez-vous à ce moment-là ? Qu’entendiez-vous ? Qu’est-ce que vous ressentiez ? Où le ressentiez-vous dans votre corps ?
    Et rappelez-vous, ​il y a combien de temps que cela a​ eu lieu ? (IMPORTANT)
  4. ​Lâchez votre anneau, avancez d’un pas, respirez et ouvrez les yeux
  5. Faites quelque mouvements de gymnastique pour « vous réveiller » et pensez à autre chose
  6. Renouvelez au minimum 3 fois l’étape 1

Renforcer votre confiance : Étape 2

  1. Avancez d’un pas en imaginant être le lendemain du jour où vous avez réussi votre projet
  2. ​Plongez-vous dans ce souvenir futur, en formant l’anneau avec le pouce ​et l’index, et ​imaginez au mieux comment s’est passée votre réussite de la veille
    Que s’est-il passé ?​ A quel endroit ? Comment était-ce ? Qu’avez-vous vu ​? Qu’entendiez-vous ?
    Qu’​avez-vous ressenti ? Où l​’avez-vous dans votre corps ? 
    Et rappelez-vous, ​il y a combien de temps que cela a​ eu lieu ? (IMPORTANT)

    Note: Répétez-vous pendant la​ création de ce souvenir futur que cela s’est passé il y a « X » temps, à savoir au moment d​u souvenir que vous avez revisité dans l’étape 1.  

​Derniers conseils

​Mon conseil se résume en 3 mots :  AGISSEZ ! AGISSEZ ! AGISSEZ !

​Si vous avez des questions sur le processus, posez-les moi dans l’espace commentaire ci-dessous.
Si vous avez des remarques ou autre, faites de même !

Avec confiance et motivation 😉







Lettre ouverte aux musiciens démotivés qui ont envie d’abandonner

Une fois n’est pas coutume.

Aujourd’hui, je vais laisser les études de neurosciences et de psychologie comportementale de côté.

Ce n’est pas que cela ne m’intéresse plus, bien au contraire.
​Mais j’ai quelque chose de plus urgent à vous partager.

​Depuis deux semaines, je traverse​ une nouvelle épreuve.
​Un ​énième challenge qui peut sembler être un obstacle au projet de réaliser mon rêve et me donner envie d’abandonner. Un coup d’arrêt définitif à mes espoirs de monter sur scène et de faire vivre ma musique.

Mais je refuse d’abandonner.
Et je souhaite partager mon histoire avec tous ceux qui n’en peuvent plus et qui sont à deux doigts de tout laisser tomber.

C’est clair que quand c’est dur ​on est prêt à lâcher. Mais je ne pense pas que ce soit la meilleure solution.
Non, je crois que c’est crucial de continuer à ​continuer.

Des difficultés vocales de plus en plus présentes

Depuis quelque temps, j’ai des problèmes de ​voix.
J’en avais déjà parlé sur le blog.

​D’une part, je donne beaucoup de formations et ​peut-être trop.
​D’autre part, il semblerait que j’utilise mal l’instrument à vent qui me permet de parler​.
L’un dans l’autre, je ne peux pas arrêter de travailler.

​Mais avec le temps, ma gêne vocale ​s’est accentuée.
​Même quand je parle tranquillement, j’ai comme « mal à la voix ».
​Et quand je chante du hip-hop, c’est pire.
Souvent ma voix se coupe net et je ressens une douleur dans la gorge.

J’ai donc commencé à chercher des solutions car sans aide, l’envie d’abandonner pourrait se faire plus présente.

Et en me renseignant​, j’ai découvert que des cours de chant seraient une très bonne ​piste pour résorber ces troubles de plus en plus présents. J’ai donc chercher un prof de chant sur Lyon.

La recherche d'une aide de qualité

Vous avez dit un bon prof ?

J’ai trouvé un prof qui semblait bon sur le papier.
Il avait de bons commentaires sur le web​ et s’était formé auprès de spécialistes.
​Je l’ai donc contacté et j’ai commencé à travailler avec lui.

Mais au lieu d’apprendre à chanter et à utiliser ma voix.
Il a passé son temps à me faire de la « pseudo-psychotérapie ». Il analysait tous mes faits et gestes.
Pour lui, mes problèmes sont dus à des blocages psychologiques et tous disparaîtr​ont quand j’aurai « évolué ».

Oka​yyy… Et pour les cours de chant ?

​Je ne rejette pas cette façon de voir les choses. Je suis même partisan de ce genre de grille de lecture.
Souvent, pour ne pas dire tout le temps, notre corps « nous parle ».
​Je crois que les ​maladies que nous rencontrons sont plus souvent des symptômes, qui révèlent des problèmes plus profonds, que des maladies en soi.  

J’ai par exemple du psoriasis sur la peau et je sais bien qu’il est apparu à cause d’un fort malaise social
que j’ai vécu pendant de longues années de jeunesse.
D’ailleurs, il me démange uniquement en cas de malaise intense.
C’est bien un signe…

​Pour avancer il faut savoir dire non

Mais là, parler ou plutôt écouter parler pendant des heures ne fait pas avancer le schmilblick.

​J’ai des besoins urgents, de grosses périodes de formation m’attendent dont une semaine de 40 h.
Et je ​ne peux quasiment plus chanter…

​En 5 heures de ces cours, je n’ai chanté que 15 à 20 minutes.
Le reste du temps c’était « tu es comme ça, puis tu es comme ça, alors du coup il se passe ça, etc… »

Moi qui ai été formé au coaching dans un établissement sérieux​, je dois dire que j’ai une autre vision de l’accompagnement. Une règle de base est de demander si la personne est disposée à aller ​sur le terrain où je souhaite l’emmener.

​​En plus, là ce n’est pas ce que je suis venu chercher. C’est sensé être des cours de chant, non ?  
​Alors pourquoi, je ne fais pas d’exercice​​​ de respiration, de chant ou de relaxation ?

J’en ai parlé au prof en lui rappelant que j’ai ​un besoin d’aide urgent.
​Et il n’a pas apprécié que je remette en cause son approche. Il s’est même montré désagréable et s’est permis de me parler sur un ton déplacé.  

​Alors bien sûr, j’ai arrêté de prendre des cours avec lui​. 
​Un élève, ça mérite de l’écoute et du respect !
Enfin, c’est mon point de vue.

Mieux vaut prévenir que guérir

Comme je suis motivé et que je n’ai pas envie d’abandonner une des seules pistes porteuses que j’ai, j’ai tout de suite chercher un autre prof.

​Après quelques requêtes web et deux-trois coups de fil, me voilà chez mon nouv​el enseignant.

Un type sympa, qui m’a fait faire un bilan de départ et qui a insisté pour que je prenne rendez-vous chez
​un ORL illico-presto.

​Enfin, une approche qui semble sérieuse et quelqu’un qui me ​paraît prudent et professionnel.

J’ai bien-sûr suivi ses conseils et pris un rendez-vous chez un​ spécialiste de la voix.

​Une très mauvaise nouvelle

Quoi de neuf docteur ?

L’ORL s’est montré formel.

Sa petite caméra a bien observé mes cordes vocales et elle y a vu des spicules.
​Dans l’absolu, ce n’est pas gravissime.
​Je n’ai pas de cancer et il ne faut pas opérer.

​Mais je dois quand même prendre un traitement à base de cortisone pour réduire l’inflammation de mes cordes vocales et faire une rééducation complète avec une orthophoniste spécialisée.

​Et comme le dit mon prof de chant, des spicules peuvent devenir des nodules et pour un chanteur
c’est une catastrophe.

​Conséquence, je dois arrêter de rapper, parler le moins possible, ​faute de pouvoir​ arrêter de travailler.
Surtout que j’attaque une grosse période.

C’est propre, net et triste.

Mon défi mis à mal

Et oui, je devais me produire ce mois d’Octobre sur scène. C’était mon défi.

​Ce n’est pas que j’ai envie d’abandonner mais tout le monde est formel là-dessus, je ne dois pas chanter.
Pour le moment, c’est juste hors de question de faire un concert.

J’espère pouvoir reprendre mon entraînement le plus vite possible car je souhaite me produire sur scène en Décembre. Je suis impatient et motivé et j’ai déjà tellement attendu.

D’autant que ce n’est pas mon premier « gros défi » de l’année…

Des défis, toujours des défis

Une année parsemée de coups durs

J’écris depuis plus de 10 ans maintenant.

​Cependant, trop de créativité, une mauvaise organisation et quelques croyances limitantes m’ont réellement fait viser à côté de mon but. Je n’ai en quelque sorte jamais rien produit alors que j’en mourrais d’envie et que tous les gens que j’ai croisé m’y ont encouragé. Et plus d’une fois j’ai eu envie d’abandonner…

​Mais au début de cette année 2018, j​e travaillais enfin sur mon 1er album avec un ami beatmaker et ingénieur du son. Pendant des années on s’est fréquenté sans jamais rien concrétiser de vraiment sérieux.

Mais depuis la fin de l’année 2017, on se voyait chaque semaine pour bosser sur un projet.

Au bout de quelques semaines, on a enregistré ma première chanson en la peaufinant super bien.
La piste principale était parfaite, les backs étaient bien calés, etc… C’était le top !
Faut dire que ce gars est très bon dans ce qu’il fait et c’est pour cela que je voulais bosser avec.

Alors quand le premier enregistrement était réalisé avec une superbe qualité, j’ai commencé à être aux anges. Cela faisait tellement de temps que j’attendais ce moment…

​Quand je rentrais chez moi le soir après une séance d’enregistrement, je me sentais plus détendu que jamais.
J’avais une sensation de complète relaxation et de paix que je ne connaissais pas. Je pense que c’était ​proche de ​la sensation que les gens connaissent quand ils se sentent accomplis.

Un projet abandonné à ses débuts

Malheureusement, « cet ami » avait de nombreux autres projets en même temps et de grosses difficultés financières. 

​Et quand est venu le temps de fignoler la partie instrumentale du morceau. Il était de moins en moins présent et disponible. Nos séances de travail mettaient des plombes à démarrer. Quand ce n’est pas un de ses disques durs qui tombait en panne ou son mac qui ne voulait plus démarrer.

​De mon côté la frustration commençait à monter.
Au rythme où on avançait, il faudrait des années pour finir cet album.

J’ai commencé à réellement beaucoup souffrir de cette situation qui s’ankylosait.
Je voyais bien que mon collègue ne s’intéressait plus réellement au projet. Il était comme absent en étant là.

​Trop c'est trop

​Finalement, j’ai décidé d’en parler.

Je ​lui ai dit que j’avais besoin qu’on discute car je vivais très mal cette situation.

​On s’est vu et cela n’a rien donné. Pour lui tout allait bien.
Pour moi ce n’était pas le cas.

J’ai beau lui avoir expliqué calmement mes impressions et mon désarroi en faisant attention à ne pas le juger. Rien n’y a fait.

Faut dire qu’en une heure de discussion il a bu trois whiskys et moi zéro.
​Et on sait que l’alcool aide rarement à sortir des automatismes de nos pensées, ni à se remettre en question et encore moins à trouver des solutions créatives et innovantes !

Je suis sorti de chez lui aussi mal que j’y suis rentré. Voir plus.

J’étais vraiment dégoûté.
Je pense que j’aurais pu mieux faire, mieux communiquer. Lui suggérer d’aller boire plutôt un café, ailleurs de préférence. Mais ​ce qui était fait était fait. Je ne pouvais que me dire que je m’y prendrai mieux la prochaine fois.

Peu de temps après cela, j’ai essayé de « récupérer » les enregistrements qu’on avait fait. J’avais dans l’idée de finir le travail avec un autre partenaire. Mais même là​, tout était compliqué.

​S’en était trop, j’ai craqué !
​Par sms, je lui ai dit mes vérités et j’ai bloqué son numéro.

A ​deux doigts de tout lâcher

C’était terrible.

Je n’avais plus personne qui disposait de compétences techniques pour m’accompagner dans la réalisation de mon projet. Et ma première réalisation concrète dont j’étais extrêmement fier n’allait pas voir le jour.

J’ai perdu quelqu’un que j’appréciais beaucoup par ailleurs.
Je n’aurais pas dû travailler avec cet ami sur un projet qui me tenait autant à cœur.
Car pour moi, faire vivre ma musique est la chose la plus importante de ma vie.

Au moment de cette rupture, je ne voyais plus d’issue.
J’étais profondément blasé et je pensais à tout lâcher.

Cela faisait des années que je ne me consacrais pas autant que je le souhaitais à mon projet musical.
Et Dieu sait que cela me pesait terriblement. Mais je restais accroché à mon rêve coûte que coûte en attendant d’avoir plus de temps au quotidien pour m’y employer.

Et là, malgré beaucoup d’efforts et des concrétisations prometteuses, tout s’est écroulé et je repartais presque à zéro.

Encore aujourd’hui, quand je pense à ce morceau avorté cela me fait mal au ventre et au cœur.
La première étape de mon rêve a été de nouveau repoussé aux calendes grecs.

D’ailleurs la peine m’a vraiment envie d’abandonner. J’étais vraiment un musicien démotivé.
Mais lâcher c’est pire qu’échouer. Alors j’ai décidé de continuer.

​Les ​problèmes cachent des opportunités

Des cadeaux mal emballés

Si vous avez déjà ouvert un de ces livres de développement personnel dont le but est d’inspirer le lecteur à devenir meilleur, à redoubler d’efforts et à ne jamais abandonner un rêve, vous savez ce que je vais dire.

​Dans chaque épreuve, se cachent des cadeaux.
Des cadeaux mal emballés, recouverts de boue, de ronces et d’orties.
​Mais des cadeaux quand-même !

​Ce n’est pas toujours facile à voir car parfois, les cadeaux mettent du temps à montrer qu’ils en sont.
Cela peut même prendre des années…

​Et dans ces cas là, le seul élément qui permet de tenir bon, c’est la croyance que l’on a que
« quelque chose de bon va se produire ».

​Personnellement je me suis efforcé à penser : « Ok, cela n’a pas du tout l’air bon pour mon projet, on dirait même que c’est catastrophique; mais ce n’est qu’une apparence, voyons ce qu’il va découler de tout cela et continue à tout faire pour que mon rêve se construise petit à petit »​.

​Car si je ne regardais pas les événements ainsi, c’​était foutu.
​J ‘aurais abandonné et je me serais résigné.

​A la recherche d'opportunités

Cela n’a pas été facile de me remettre de l’avortement de ce projet.

​Car je me suis toujours dit que je ferais de superbes réalisations avec « cet ami » et lui aussi disait la même chose. En plus, je ne connais personne qui dispose des mêmes compétences techniques et artistiques.

Quoi qu’il en soit, j’ai cherché une alternative et j’ai décidé de ​construire un groupe ​plutôt que de travailler avec un beatmaker.

​Cela ouvrirait d’autres perspectives et changerait un peu la donne.

Aujourd’hui, j’ai la chance de travailler avec un super pianiste, un batteur talentueux et peut-être un bassiste qui a de la bouteille. Je vais le rencontrer cette semaine.

​Tout cela prend du temps à se mettre en place mais je crois que cela peut donner naissance à quelque chose d’intéressant. Et je vais tout faire pour. 😉

A bout de souffle

Mais à présent c’est ma voix qui flanche.

​On dirait que c’est un test et que la question suivante est posée :
« Combien de fois on peut te faire tomber avant que tu en ais marre de te relever et que tu restes à terre ? »

​En tout cas c’est l’impression que cela fait.

​Je ne peux plus chanter et m’entraîner pour mon défi.
​J’ai souvent mal à la voix alors que je ne fais que de parler.
Pas terrible tout cela.

Mon rêve me semble loin…
Parfois, je sens que tout cela fait beaucoup à supporter.
La déception, le temps et l’usure créent un cocktail étrange, qui par le passé a déjà fait couler des larmes sèches sur mes joues. Vous avez déjà connu cette sensation ​ ?

​Pour le moment, je n’ai que deux solutions.

Soit j’abandonne et je reste blasé parce que des réalisations concr​ètes, qui me donnerait tant de plaisir, se sont éloignées.

Soit je continue à continuer et je me demande quelles opportunités d’encore mieux réaliser mon rêve se cachent là-dessous.

La beauté de la vie dépend de notre regard

Regarder le verre à moitié plein...

Vous connaissez cette célèbre phrase qui dit « qu’il vaut mieux regarder le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide »​ ?  

​Cet adage est plein de sagesse.
Il peut réellement nous aider si on se donne la peine de le respecter.

Parce qu’à vrai dire, si je regarde le verre à moitié plein, je n’ai plus envie d’abandonner.

​Et oui !
Des opportunités cachées dans mes problèmes, il y en a !

D’une part, un vrai groupe de musique me permet de vivre des expériences de partage musical intense.
Alors qu’un DJ beatmaker crée la musique à l’avance. L’alchimie sur scène est donc différente​ et quelque part le partage est moins fort.

Et puis, cela me donne l’opportunité de jouer de la guitare dans un groupe. Ce qui n’était pas le cas dans mon ancienne configuration.

D’ailleurs, maintenant que j’y pense, le projet « Ouimusique » et le défi que je me suis lancé n’aurait probablement jamais vu le jour sans l’avortement de mon précédent projet !

​Et ce défi m’a fait progressé à de très nombreux niveaux…

...donne l'énergie de ne pas abandonner !

D’autre part, si j’ai mal à ma voix et que mes cordes vocales sont fatiguées, c’est qu’il y a certaines choses que je faisais mal !

Et ce n’est pas parce que je ne me rendais pas compte de ce mauvais usage qu’il n’avait pas d’impact négatif sur ma façon de chanter.

A présent, j’ai donc l’opportunité de découvrir une meilleure façon d’utiliser ma voix. Et qui sait où cela peut m’emmener ? 😉

En plus, je suis accompagné par une orthophoniste spécialisée dans la voix parlée et chantée et par un professeur de chant. Ce sont des expériences que je n’avais jamais faites.

Vu comme ça, c’est formidable !

Sans « ces problèmes de voix », je n’aurais jamais cherché à bénéficier de l’accompagnement de ces professionnels de la voix.

Et c’est ​certain que leurs enseignements me permettront d’aller plus loin que là où​ je serais allé tout seul si je n’avais pas blessé mes cordes vocales !

Penser au futur et ​aux bonnes surprises qui s'y cachent

Le cerveau humain à ceci de fantastique et de curieux.

Quand il croit qu’il va trouver quelque chose, il le cherche et il finit toujours par le trouver. 😉

Les problèmes que j’ai rencontrés ont engendré des conséquences positives.
Ok.

Mais à l’avenir d’autres avantages naîtront peut-être de ces mêmes problèmes !

Peut-être que demain je découvrirai d’autres cadeaux qui n’ont juste pas encore eu le temps de naître aujourd’hui ! 😉

En tout cas, si je vois les choses comme cela c’est sûr que cela va se produire !

Sacrés humains que nous sommes !

​Et vous ?

Vous savez, j’ai encore parfois quelques inquiétudes pour ma voix.
​Tout n’est pas parfait dans le meilleur des mondes parce que je choisis de me focaliser sur les cadeaux que mes problèmes vont m’apporter.

Mais, avec le temps et un focus sur le verre à moitié plein, j’ai dissipé l’envie d’abandonner et retrouvé l’énergie de continuer !

​Je suis​ même excité à l’idée de voir quels progrès je vais pouvoir faire grâce aux nouveaux éléments qui sont rentrés dans l’équation. C’est le bon côté des choses…

D’ailleurs, cette technique pour renforcer la confiance que l’on a en la réussite d’un projet​ m’a beaucoup aidé à garder un bon état d’esprit.

​Et vous ?
Oui, vous !

Quels cadeaux se cachent dans vos pépins ?
Quels fruits vont naître grâce à eux ?

Avez-vous déjà vécu ​quelque chose de similaire ?
Comment l’avez-vous gérer ?

​Vous pouvez partager​ vos expériences et vos réflexions dans l’espace commentaire ci-dessous.

​Je suis certain que cela peut en aider d’autres ​à trouver des opportunités dans leurs problèmes.
Cela peut au moins leur donner l’opportunité de ne pas abandonner, de se remotiver et de continuer à… continuer.

Avec confiance et motivation 😉








L’année a mal commencé pour vous…

Vous vous êtes pris des cartons ?

Cela vous semble impossible de remonter la pente pour valider votre semestre ?
Ou peut-être que vos résultats sont corrects, mais vous êtes stressé rien qu’à imaginer vos prochains examens…

Je vous rassure, vous n’êtes pas le seul étudiant à vous trouver dans ces situations !

D’après le magasine Savoir :

Parmi les 88% des étudiants interrogés qui se considèrent en bonne santé, 66% disent pourtant être stressé.

1 étudiant sur 2 dit avoir perdu confiance en lui et estime qu’il n’est un bon à rien.

Et la moitié des étudiants interrogés parle également de tristesse, de déprime ou de manque d’espoir. (source)

Plutôt gris comme tableau !

Et bien laissez-moi vous dire, que malgré ces chiffres, il ne faut vous laisser abattre.
Même si vous êtes en difficulté, tout n’est pas perdu !
En réalité, vous êtes capable de reprendre le dessus.

Mais comment ?

Comment un étudiant en échec scolaire, anxieux et stressé,  peut-il réussir ses études ?
C’est bien la question que vous vous posez, n’est-ce pas ?

Vous n’allez peut-être pas me croire !
La réponse se trouve enfouie là où vous n’iriez pas la chercher…


Parfois, être intelligent ne suffit pas !
Être motivé non plus.

Nous connaissons tous des personnes intelligentes et motivées qui n’ont pas tout le succès qu’elles méritent.

Dans cet article, vous allez découvrir ce qu’un étudiant peut faire pour être sûr de réussir ses études et être plus serein.

Grâce aux découvertes saisissantes, d’un chercheur en psychologie mondialement reconnue, vous allez comprendre pourquoi cet ingrédient a autant d’impact sur vos chances de succès.

Et comment l’utiliser à votre avantage pour booster vos chances de réussir vos études.

Cela vous intéresse ?

 

LE SENTIMENT D’EFFICACITÉ PERSONNELLE : LA CLÉ POUR RÉUSSIR SES ÉTUDES

Connaissez-vous le Sentiment d’Efficacité Personnelle ?

Non ?
C’est normal.

L’école n’a malheureusement pas le temps d’enseigner certains concepts, pourtant cruciaux pour réussir dans la vie.

Le Sentiment d’Efficacité Personnelle (SEP) a été théorisé par Albert Bandura.
Ce psychologue canadien est reconnu comme l’un des chercheurs les plus influents du monde.

Pour lui, votre réussite ne dépend pas que de votre capacité à accumuler des connaissances.
Elle dépend également de vos croyances en votre capacité à réussir !

C’est cette confiance en votre capacité à réussir qu’Albert Bandura a nommée le Sentiment d’Efficacité Personnelle.

Ses recherches démontrent que vos croyances en votre propre efficacité influencent votre manière d’agir.

Elles impactent par exemple : vos ressentis, la manière dont vous pensez, dont vous vous motivez et dont vous vous comportez.

Si vous ne croyez pas en vous, vous douterez plus facilement de la qualité de vos connaissances pendant un examen…

 

réussis ses études hemispheresEt si vous avez le malheur de croiser une question piège…

BOOM !

Ce sera la grosse montée de stress.
Votre cœur s’accélérera.
Et ni une ni deux, vous serez en train de vous emmêler les pinceaux  !

Sachez que ce n’est pas votre intelligence qui fait défaut !

Quand il panique, même l’homme le plus intelligent du monde devient idiot.
Un peu comme un poulet qui se cogne sur un grillage 10 fois de suite sans même penser à le contourner !

Pour réussir ses études, il ne vous suffit pas d’apprendre ses cours.
Il est également crucial d’avoir confiance en ses chances de réussir.

Vous pensez peut-être que c’est exagéré ?
Vous avez le droit…

Voyons en détail :

  • A quelles conclusions les travaux des chercheurs ont abouties
  • Pourquoi croire en vos capacités est la clé pour réussir vos études ?

 

COMMENT VOTRE CONFIANCE EN VOUS INFLUENCE VOS CHANCES DE RÉUSSIR VOS ÉTUDES : L’APPORT DE LA SCIENCE

 

L’impact de votre Sentiment d’Efficacité Personnelle sur vos chances de réussir vos études

 

Bandura (1988) ou Bong & Skaalvik (2003) ont étudié le comportement de personnes ayant des Sentiment d’Efficacité Personnelle d’intensités différentes.

Leurs observations ont permis de démontrer que, plus un individu croit en ses capacités, et plus il :

  • Se fixe des objectifs plus ambitieux
  • Ménage efficacement ses efforts et son investissement
  • Persévère face à la difficulté
  • Gère efficacement son stress et son anxiété
  • Obtient des performances élevés

Votre confiance en votre capacité à réussir vos études donc est le nerf de la guerre.

Ici, la clé, c’est la certitude que vous pouvez oui ou non réussir vos études.
C’est votre SEP.

Vous devez donc absolument croire en vos chances des succès pour espérer réussir vos études.

Personnellement, je compare souvent le SEP à une épée à double tranchant très affûtée.

Il vous permet de mieux manager votre stress, de limiter ses conséquences néfastes, d’améliorer vos performances, ou pas !

 

réussir ses études hémisphères

Usain Bolt, un sportif au SEP très élevé

Il y a de fortes chances qu’aucun professeur ne vous a enseigné cette notion d’auto-efficacité.

Il y a deux raisons à cela .

  1. Ces recherches sont récentes
  2. Peu de gens connaissent ce concept clé

Beaucoup de recherches en psychologie ou en sciences cognitives ont moins d’une cinquantaine d’années.

Cependant, l’importance du SEP est plus connue dans d’autres univers comme dans le monde du sport par exemple.

Vous le savez, les athlètes de haut niveau travaillent leur mental autant que leur condition physique.
Et ceux qui connaissent le plus grand succès sont souvent ceux qui ont le plus haut SEP.

C’est notamment le cas d’Usain Bolt.

Ce sprinter d’exception a explosé les records du monde du 100 et du 200 mètres.

Dans une interview, il nous offre un aperçu saisissant de son niveau de SEP.

En voici un extrait :

Je sais de quoi je suis capable et je n’ai peur de personne.

Voilà ce qui me donne tant de confiance en moi.

Quand j’arrive sur la piste, ma confiance est au maximum.

C’est ma force.

Rien ne peut l’ébranler, pas même la pression ou les éventuelles défaites.

Mon entraîneur m’a toujours dit qu’il fallait apprendre à perdre pour bien réussir à gagner.

Mais cette forte confiance ne va pas au-delà de ce dont je suis capable.

Pas de risques, donc, à ce que je sois pris au piège du trop-plein de confiance.” (source)

Usain Bolt a une foi inébranlable en sa capacité à réussir les challenges qu’il se lance.

C’est la clé de voûte de son succès.

 

Réussir ses études ne dépend pas que de l’intelligence

Pour illustrer l’impact de votre SEP sur la réussite de vos études, prenons un exemple concret.

Jules et Julien veulent devenir médecins et passent le concours de PACES (première année commune aux études de santé AKA “médecine”).

Ils sont aussi intelligents l’un que l’autre.
En revanche, leur SEP est très différent.

Jules à un SEP élevé de 9/10 et Julien a un SEP bas de 3/10.

Les deux ont envie de réussir.
Mais Julien doute au fond de lui de sa capacité à réussir ses études.

Le tableau ci-dessous vous offre une synthèse de l’impact du SEP sur leur façon d’aborder ce défi.


Nous sommes d’accord !

Jules et Julien tentent le même concours.
Mais les expériences qu’ils vivent sont aussi différentes qu’une photo en noir et blanc et une photo couleur !

 

L’impact du SEP chez des étudiants en PACES

réussir ses études hémisphères

L’exemple de Jules et Julien est inventé.

Il est là pour illustrer l’impact du SEP sur les chances de réussir vos études !
Mais il pourrait tout à fait être réel.

Connaissez-vous les fameuses “boîtes à colle” ou “prépa PACES” ?

Ce sont des structures qui accompagnent les étudiants, en première année d’études de santé, pour les aider à réussir le concours très sélectif qui leur ouvrira les portes aux études de médecine, pharmacie, dentaire, sage-femme, kiné.

J’ai donné des formations apprentissage optimisé dans des boîtes à colles pendant les périodes qui précèdent la rentrée officielle des universités de médecine. Et par la suite, j’ai suivi le parcours de certains étudiants.

Mon but était d’observer leur évolution et comprendre les facteurs subtils de réussite ou d’échec dans ce contexte très compétitif.

Et c’est là que j’ai obtenu des retours très étonnants !

Des étudiants affirmaient que certaines stratégies étaient formidables mais inapplicable en PACES.
Du fait que la quantité de travail était trop élevées, ils n’avaient pas le temps d’apprendre à manier diverses techniques et astuces…

Pourtant, d’autres étudiants affirmaient exactement l’inverse !

Pour eux, sans ces outils, il était impossible de réussir cette année extrêmement difficile !

C’est fou, non ?

Pour certains étudiants, l’énorme quantité de travail rend impossible l’utilisation de stratégies raffinées.

Pour d’autres, elles rends l’utilisation de ces techniques d’apprentissages indispensables !

Tout cela m’a beaucoup questionné !
Et pour moi une chose était certaine.

Ces techniques n’étaient pas responsables de cette divergence de point de vue.
Et tout cela n’était pas qu’une question de capacités intellectuelles.

Il y avait d’autres raisons.

 

L’étude qui m’a ouvert les yeux

réussir ses études hémisphères

Je devais comprendre cette apparente contradiction.
J’ai donc décidé de créer une petite étude sous forme de sondage et je l’ai envoyé à un grand nombre d’étudiants de PACES.

Dans cette mini-étude « scientifique », je questionnais les étudiants sur :

  • les émotions qu’ils ressentaient le plus souvent
  • les techniques qu’ils ont utilisées pour apprendre
  • le côté « applicable en PACES » ou pas de ces stratégies d’apprentissage enseignées quand on a une charge de travail immense
  • leur foi en leur capacité de réussite (leur SEP)

 

SEP et prise en main de stratégies raffinées

Un SEP faible engendre des émotions toxiques

C’est là que tout est devenu clair !

Les étudiants qui avaient un SEP moyen ou faible vivaient majoritairement des émotions toxiques comme la peur et ressentaient beaucoup de stress.

Par ailleurs, ils jugeaient « difficiles» l’utilisation de stratégies d’apprentissages optimisées et moins habituelles.

Certains expliquaient avoir abandonné ces outils car ils paniquaient devant le travail qui s’accumulait !
La peur les a fait revenir aux anciennes méthodes de travail inefficaces, mais plus familières.

Sur le coup, ils avaient la sensation de « faire ce qu’il fallait ».

Alors qu’en réalité, ils tentaient simplement de calmer leur anxiété.
Et cette stratégie « à court terme » favorisait leur échec.
Dommage…

réussir ses études hémisphères

Un SEP fort procure des émotions positives

Les étudiants aux SEP élevé ressentaient plus fréquemment des émotions positives que toxiques.

La montagne de travail qui s’accumulait de jour en jour ne les déstabilisait pas autant.

Ils avaient confiance en leur capacité à réussir à gérer la charge de travail qui les attendait.
Prendre en main des techniques d’apprentissage plus fines ne les déstabilisait pas autant !

Ils se sentaient mieux, ils travaillaient mieux, ils réussissaient mieux !

Point.

Un SEP élevé offre des meilleurs chances de réussir ses études.

Maintenant, vous comprenez à quel point votre SEP impacte vos chances de réussir vos études,
et une question vous brûle les lèvres, n’est-ce pas ?

 

Comment mesurer votre Sentiment d’Efficacité Personnelle ?

Rentrons dans le vif du sujet.

Comment savoir si vous possédez un SEP plutôt faible ou plutôt élevé?

Pour commencer, énoncez votre objectif de manière précise.

Voici quelques exemples d’objectifs précis :

  • “ Réussir mon année avec mention bien”
  • ” Valider mon diplôme avec 15 de moyennes”
  • “ Réussir mon concours en PACES et être dans classé dans les 200 premiers”
  • “ Obtenir un  18/20 à mon prochain examen d’histoire ”

Pour connaître votre SEP, répondez simplement à la question suivante en l’ajustant à votre objectif :

  • “De 0 à 10, quel est votre degré de certitude en ce qui concerne votre capacité à… (votre objectif) ”

0 étant “je n’y crois absolument pas” et 10 correspond à “j’en suis absolument certain”.

La note que vous donnez en réponse à cette question reflète votre SEP.
C’est simple, non ?

Bien sûr, plus votre objectif est précis, et plus l’évaluation de votre Sentiment d’Efficacité Personnelle sera pertinente.

Pour préciser votre SEP, vous pouvez nuancer votre questionnement :

  • De 0 à 10, quel est votre degré de certitude en ce qui concerne votre capacité de valider votre diplôme avec une moyenne de 12 ?”
  • De 0 à 10, quel est votre degré de certitude en ce qui concerne votre capacité de valider votre diplôme avec une moyenne de 14 ?”

Vous comprenez ?

 

Vos sensations révèlent vote SEP

Une petite précision s’impose.

Quand vous vous posez ces questions, analyser les sensations corporelles qu’elles génèrent en vous.

Car c’est vos sensations qui reflètent votre réponse.

Dite moi.
Quand vous avez confiance, ou quand vous doutez, vous le sentez dans vos tripes, dans votre cœur, n’est-ce pas ?

Vous le savez grâce aux sensations qui émergent dans votre corps.

réussir ses études hémisphères

D’ailleurs, aujourd’hui, la science a démontré qu’un être humain à 200 000 000 de neurones dans les intestins.  (source)

Oui !

Vous avez autant de neurones dans les tripes, que votre chien ou votre chat adoré en a dans le crâne !
Je sais, c’est incroyable !

Revenons à nos moutons.

Quand vous vous posez ces questions, vous sentez- vous droit, solide, ancré, confiant ?
Ou avez-vous les mains qui deviennent moites ?  La tête qui dit « non » ?

Toutes ces sensations vous indiquent quel est votre SEP.

Elles définissent vos chances de réussir vos études en toute sérénité ou dans un stress constant.

Bien sûr, il est crucial que vous répondiez à ces questions en toute honnêteté.
Mais là-dessus, je vous fais confiance !;)

Et si votre SEP est plutôt faible, pas de panique !

Vous allez bientôt découvrir comment faire pour l’améliorer votre SEP et vos chances de réussir vos études ! 😉

 

Affiner l’analyse de son Sentiment d’Efficacité Personnelle

Après avoir identifié votre SEP pour votre objectif général, vous pouvez affiner votre analyse.

Pour cela, il vous suffit d’identifier les domaines qui augmentent ou diminuent votre SEP.

Posez-vous des questions du type :

« À quel point suis-je confiant pour apprendre telle ou telle matière ? »

Plus vous aurez une idée précise de ce qui fragilise votre SEP et plus vous pourrez agir de manière ciblée pour booster vos chances de réussir vos études !

À présent, voyons comment vous pouvez booster votre SEP pour réussir vos études avec plus de sérénité.

 

2 STRATÉGIES POUR BOOSTER VOTRE CONFIANCE ET RÉUSSIR VOS ÉTUDES

réussir-ses-études-bodybuilder-confiant

Les outils que vous allez découvrir ont fait leurs preuves.

C’est ces outils que j’ai transmis à des étudiants en médecine pendant leur année de PACES.
C’est grâce à eux que ces étudiants ont pu se construire le mental qui les a conduits au succès.

1 ) Réussir ses études grâce à la puissance des affirmations répétées

Le cerveau humain est un formidable outil.
Mais cet outil a des failles.

En neurosciences, on parle de biais cognitifs. Vous avez déjà vu des illusions d’optique ?

En voici une :

réussir ses études hémisphères

Vous ne voyez pas des bandes de largeurs égales, n’est-ce pas ?

Vous savez oourtant que les bandes noires et blanches sont aussi larges les unes que les autres !
Mais même si vous le savez, vous ne pouvez pas empêcher votre cerveau de vous donner l’impression qu’elles ne sont pas de largeur égale.

Les illusions d’optiques sont des exemples parfaits de biais cognitifs.
Le cerveau possède une foule d’autres biais cognitifs très variés.
Certain peuvent être utiliser à notre avantage !

C’est ce que nous allons voir maintenant

La force de la répétition

Le cerveau humain fonctionne à la répétition.
Ce qui est le plus répété sera en quelque sorte accepté comme étant « la vérité » par votre cerveau.

Coca-ColaOrangeet compagnie arrêteraient de payer constamment des campagnes publicitaires à quelques dizaines millions de dollars ou d’euros, si ce n’était pas le cas !

Vous les connaissez.

Vous les avez déjà suffisamment vues, non ?
Même s’ils ne diffusaient plus de pubs, aucun risque de les oublier, n’est-ce pas ?

Pourtant, ils continuent leur martelage médiatique pour rester constamment présents dans votre esprit.
Car ce qui est présent dans votre esprit influence vos comportements et vos choix !

Alors pour augmenter vos chances de réussir vos études, utiliser le pouvoir de la répétition à votre avantage !
Inonder votre esprit de pensées positives !

Conduire votre esprit c’est un peu comme conduire une voiture.
A l’auto-école, le moniteur vous disait de regarder le talus ou la route ?

Oui, parce que si vous regardez dans le talus vous allez où ?
DANS LE TALUS !

Pour conduire dans la bonne direction, il faut regarder dans la bonne direction !

réussir ses études hémisphères


Rassurez-vous ! 😉
Même si vous ne croyez pas ce que vous dites au début, ce n’est pas grave.

Petit à petit, le sentiment de « fake » va s’estomper.

Continuez à vous répétez des affirmations positives.

C’est la première étape en quelque sorte. 😉

Pour réussir vos études, répétez-vous que vous allez réussir vos études.

Répétez-vous que :

  • Votre cerveau est capable d’apprendre incroyablement bien.
  • Vous êtes sur la bonne voie et que de jour en jour vous êtes plus zen et plus efficace.
  • Vous avez toutes vos chances et que vous allez faire tout ce qu’il faut pour réussir !

Inondez votre esprit de pensées positives !

Le temps jouera en votre faveur et, neurone par neurone, vous sentirez votre confiance devenir plus forte.

Votre SEP va grandir.
Vos chances de réussir vos études sereinement aussi.

Vous l’avez peut-être deviné, cette technique s’appelle la méthode Coué, du célèbre pharmacien qui l’a popularisé.

réussir ses études hémisphères


2) La thérapie brève

Je dois être honnête avec vous.

Pour certains d’entre vous, la répétition intensive de phrases positives ne suffira pas.
Pourquoi ?

Parce que vous avez peut-être des blessures psychologiques qui vous fragilisent et travaillent contre vous-même. Des cicatrices intérieures qui rendent votre chemin plus compliqué à parcourir.

Dans ce cas,  je vous conseille de faire quelques séances de thérapie brèves.

réussir ses études hémisphères

Oui.

Vous avez bien lu !
Je vous invite à faire de la thérapie brève avec un spécialiste.

En tant que coach, et praticien de différentes familles de thérapie brève, je vous assure que cela peut sauver votre projet d’étude et rendre votre vie beaucoup plus douce.

Vous allez me dire que je prêche pour ma paroisse.

C’est vrai.

Mais je le fais, car j’ai des preuves, des faits et des témoignages qui confirment ce que des recherches scientifiques ont prouvés.
Notamment grâce à des études scientifiques solides, des IRMs du cerveau, etc.

Je le fais, car ces outils m’ont permis d’incroyablement progresser dans tous les domaines de ma vie et de m’améliorer sur de très nombreux points.

Tous les êtres humains ont vécu des chocs, des expériences douloureuses…
Sans traitement adapté, elles restent parfois très vivaces.

Et elles peuvent spontanément vous revenir en pleine face aux moments où vous n’en avez le moins besoin ! Comme quand vous êtes en situation de stress par exemple.

J’ai pu constater ce phénomène chez beaucoup d’étudiants de PACES.

réussir ses études hémisphères


Quand la pression est intense, les “expériences de vie” que vous n’avez pas bien digérées ont tendance à remonter à la surface.
C’est pourquoi un travail sur soi peut parfois s’imposer.

Mais le monde de la thérapie peut vous être totalement étranger.

Alors, je vais vous donner quelques informations clés pour vous aider mieux vous situe dans cet univers.

Quand faire appel à un thérapeute ?


Voici une petite liste non exhaustive de situations dans lesquelles un peu de thérapie augmentera sensiblement votre bien-être et donc vos chances de réussir vos études :

  • Si vous manquez cruellement de confiance en votre capacité de réussir vos études
  • Si vous avez la phobie d’une matière ou un sérieux blocage (et la sensation de ne jamais rien comprendre par exemple)
  • Si vous êtes anxieux au point de faire des crises d’angoisse
  • Si vous n’arrivez pas à ressentir de la motivation et que vous êtes toujours obligé de vous forcer à travailler
  • Si des pensées négatives « tournent en boucle » dans votre esprit et viennent détruire votre concentration lorsque vous travaillez
  • Si vous n’avez envie de rien
  • Si vous avez des compulsions et/ou des dépendances
  • Si vous n’arrivez pas à dormir
  • Si vous pensez que votre vie future sera très dure


En fait, vous êtes comme un jardin.
Et pour qu’un jardin soit beau et en bonne santé que faut-il faire ?

réussir ses études hémisphères


Oui, il faut l’entretenir !

Enlever les mauvaises herbes, les ronces, les crottes du chien du voisin, etc.
Il faut planter des graines, arroser les fleurs, tailler les arbres…

Si vous ne faites rien, que va devenir votre jardin ?

Vous savez, beaucoup de personnes agissent de cette manière avec leur jardin intérieur.
C’est un peu le modèle dominant. ;(

Des voyants rouges s’allument sur leur tableau de bord et que font ces personnes ?
Rien.

Elles espèrent que cela va passer.
Sans avoir conscience, qu’avec le temps, les blessures qu’on ne soignent pas s’infectent davantage.

C’est comme mettre un carton pour cacher les voyants rouges qui s’allument sur le tableau de bord sa voiture.
Au lieu d’ouvrir le moteur, et de réparer ce qui doit l’être, elles font comme si tout allait bien jusqu’à ce qu’elles en paient le prix….

A mon avis, c’est un des facteurs qui expliquent que beaucoup de personnes prennent des antidépresseurs, des anxiolytiques, etc.

Attention, je n’affirme pas que mon point de vue est le seul qui soit exact !
Je vous partage simplement ma vision des choses.

Quels types de thérapie pratiquer ?

Rassurez-vous !

Je ne vous conseillerai pas de passer 5 ans à parler avec un psy.
Vous n’en avez pas le temps.

L’heure tourne.

Vous avez besoin d’une solution rapide pour vous aider à réussir vos études.

Et souvent, parler ne suffit pas !

Rassurez-vous !
Il existe de nombreux types de thérapie brève que la science a démontrées comme étant efficace.

Focalisez-vous sur techniques qui soignent, guérissent, et permettent d’évacuer les chocs et les traumatismes.

Ne vous contentez pas de techniques qui relaxent.

La sophrologie, la méditation, la pleine conscience sont des outils formidables pour gérer le stress, discipliner l’esprit, prendre du recul, améliorer ses capacités de concentration.

Cependant, ces outils ne sont pas conçus pour guérir des troubles profonds comme les traumatismes.

C’est pour cela que je vous conseille d’utiliser des techniques dont l’efficacité, a été démontrée scientifiquement.

Voici une liste non exhaustive de ces techniques (en cliquant sur les liens ci-dessous, vous aurez accès à des études scientiques qui les concernent):

Bien sûr, je vous invite également à consulter un psychothérapeute qui maîtrise une ou plusieurs de ces techniques et qui a un bon taux de réussite avec ses patients.

CONCLUSION

Vous l’avez compris, votre avenir est entre vos mains.

Même si vous manquez de confiance, même si vous êtes très stressé,
même si la petite voix dans votre tête est très pessimiste et qu’elle vous chante à tue-tête
t’y arriveras pas, c’est foutu”, tout n’est pas perdu !

Vous pouvez réussir vos études !

réussir ses études hémisphères

Par contre, je vous préviens, cela ne sera pas forcément facile.

Le doute et le manque de confiance sont parfois aussi pénibles à enlever qu’un chewing-gum collé dans des cheveux longs.

Mais c’est réalisable !
La preuve.

Vous croisez souvent des passants avec des chewing-gum dans les cheveux ?

Pour réussir vos études, vous allez devoir vous prendre en main et améliorer votre sentiment d’efficacité personnelle.
Car vous l’avez vu, l’impact de votre confiance sur votre réussite est titanesque.

Réviser sérieusement ne suffit pas !

De la même manière que pour conduire, accélérer ne suffit pas.
Il faut tourner le volant, changer les vitesses, mettre les clignotants, être constamment attentif à l’environnement.

Oui, réussir ses études demande un travail global.
Cela demande un travail sur vous-même !

Car c’est vous qui êtes aux commandes de votre réussite.

réussir ses études hémisphères

Si un pilote est malade, même le meilleur vaisseau du monde ne lui permettra pas de gagner la course.

Alors, prenez votre avenir en main maintenant.
Si vous sentez que votre SEP est faible, suivez mes conseils.

  • Inondez jour après jour votre esprit d’incantations positives.
  • Faites-vous accompagner par un thérapeute qui a d’excellents résultats.

Pour découvrir les 4 facteurs qui influencent votre SEP cliquez-ici !
Pour découvrir d’autres moyens de faire grandir voter SEP cliquez-ici !


Car vous le savez.

Si vous continuez à faire la même chose, vous continuerez à obtenir les mêmes résultats.
Ce n’est pas ce que vous voulez, n’est-ce pas ?

A ce sujet Enstein avait coutume de dire :

Il n’y a pas de plus grand signe de dérangement mental que de faire la même chose
en espérant un résultat différent”.

Rappelez-vous de cette phrase !

Et souvenez-vous que vous méritez de réussir vos études, que vous en êtes capables, car les neurosciences l’ont démontré :

Chaque jour vous construisez le cerveau que vous aurez demain !

Avec confiance et motivation 😉

Roman Buchta

 

Sources :

Les applications du sentiment d’efficacité personnelle, Jacques Lecomte dans Savoirs 2004/5 (Hors série), pages 59 à 90. (lien)






Maximiser mes chances de réussir mon défi grâce à un outil de coaching - Ouimusique


Maximiser mes chances de réussir mon défi grâce à un outil de coaching

Le tout n’est pas de se lancer un défi.

Il faut aussi mettre toutes les chances de son côté pour le réussir.

Pour ma part, je vais utiliser un outil de coaching pour rendre mon objectif le plus réalisable possible.
Vous pourrez télécharger gratuitement la fiche descriptive du processus à la fin cet article.
De rien 🙂 !

Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents articles, mon objectif est de me produire sur scène dans 3 mois.
Je veux interpréter au moins 8 de mes chansons.
Je dois vous avouer que je n’ai jamais réussi à monter un programme.

Cet objectif représente pour moi un défi de taille !
Cliquez-ici pour découvrir mon histoire et comprendre pourquoi ce défi représente un énorme challenge.

Avoir un objectif ne suffit pas…

Cela vous est déjà arrivé de vous donner un objectif et de ne pas l’atteindre ?

Personnellement oui ! Et pas qu’une fois…

Il y a quelques années, je me suis motivé à maîtriser les morceaux que j’avais composés.

A l’époque, je sortais de la fac et je n’avais pas encore commencer ma formation pour devenir coach professionnel.
Et, en ce temps là, je dois vous avouer que mon attitude était ambivalente.

J’alternais entre la lecture de livres de développement personnel inspirant et…
des réveils matins proches des douzes coups de midi.

À l’évidence, quelque chose clochait…

L’importance cruciale de la confiance pour réaliser un objectif

Un des livres que je lisais en cette période est un best-seller publié dans la première moitié du XXème siècle.

Il s’agit du livre de Napoleon Hill “Réfléchissez et devenez riche”. En anglais, “Think and Grow rich”. 

Dans ce livre très intéressant, l’auteur explique que la confiance absolue en la réalisation d’un projet est LA clé du succès

Il insiste qu’il est capital d’être convaincu que notre but va se réaliser et même qu’il est déjà en train de se matérialiser.


D’un point de vue scientifique, l’impact du facteur “confiance” est démontré par la psychologie. 
Les chercheurs parlent de Sentiment d’Efficacité Personnel (S.E.P)
 
Cliquez ici pour découvrir en détail comment le S.E.P agit sur vos chances de réussite.

Confiance et foi : une combinaison gagnante

Napoléon Hill explique aussi qu’il est crucial de prier en visualisant notre objectif atteint.

Là encore, la confiance a un impact majeur dans le bon fonctionnement du processus.
Peu importe que l’on ait une spiritualité libre, sans aucune appartenance religieuse ou que l’on soit d’une confession précise.

L’important est d’avoir la foi.

Ce n’est pas idiot quand on sait que les personnes qui ont la foi et qui subissent une opération cardiaque lourde ont 8 fois moins de chance de mourir.

Si la foi peut impacter nos chances de survie, elle peut sans doute nous rendre plus efficace dans nos apprentissages.

Pour les plus curieux, je vous conseille de lire le livre passionnant “Le génie dans nos gènes” de Dawson Church.

Ce livre présente les résultats bluffants de plus de 300 études scientifiques qui traitent, entre autres, de l’impact de la prière et/ou de la foi sur la santé.

Pour moi, c’est un livre d’avenir qui fait une synthèse des nouvelles avancées scientifiques dans l’univers de la médecine.
En plus, sa taille est d’à peine 50×10 pages !

Des outils pour muscler sa confiance

Pour faire grandir la confiance et la foi, Napoleon Hill suggère de :

– pratiquer l’autosuggestion par la répétition d’affirmations (méthode Coué)
– la visualisation.


Il conseille aussi de donner une deadline à son projet pour le rendre plus ancré dans le réel.

Mon envie de réussir était telle que j’ai appliqué à la lettre l’ensemble des techniques proposées.
Je me suis donné une deadline d’un mois.
J’ai répété tous les jours que j’atteignais mon objectif, que j’en étais très heureux, etc
.

Pour marmonner des affirmations les yeux mi-clos ça allait.

Pour visualiser le bonheur que j’allais vivre c’était plus compliqué. Visualiser a très longtemps été une pratique très difficile pour moi.

En effet, mes images mentales sont longtemps restées floues et je me sentais mal à l’aise quand je les imaginais. Malgré cela, mon sentiment de confiance a rapidement augmenté.

J’ai commencé à croire que j’allais y arriver !

Attention ! Être confiant peut s’avérer inutile…

Mais il y a quelque chose que je n’avais pas anticipé.

Mon objectif était inatteignable en un mois vu le niveau technique que j’avais à l’époque !
En effet, il y a un temps de latence entre le travail et l’intégration de nouvelles séquences gestuelles par le cerveau.

Et je n’avais ni réfléchis en détail à mon objectif, ni conçu un programme de travail précis…
Alors, j’ai travaillé sans plan précis, sans stratégie et…

Quelle erreur !

“Si je ne sais pas où je veux aller, j’ai toutes les chances d’arriver autre part.”

Au bout de deux semaines, je n’avais presque pas progressé.
C’est là que ce qui devait arriver arriva.
La confiance que j’avais “fabriquée” a fondu comme neige au soleil.

Et pire encore, la sensation agréable de confiance dans le ventre et le plexus  s’est transformée en conviction lourde que “je n’y arriverai jamais”.

J’avais développé ce qui est appelé en psychologie un “sentiment d’impuissance acquise”.
En terme d’apprentissage, il y a rien de pire…

Je croyais que je ne pourrais jamais atteindre mon objectif et tout mon corps était d’accord.

Clarifier mon objectif pour mieux l’atteindre avec un outil de coaching professionnel

       “La pire erreur est de ne rien apprendre de celles que l’on commet.”

Aujourd’hui, je ne veux pas reproduire la même erreur.

J’ai donc étudié mon objectif de plus près et je l’ai peaufiné.

Comment améliore-t-on la qualité d’un objectif ?
Grâce à un outil de clarification d’objectif.

L’outil que je vais vous présenter est enseigné au “Centre International du Coach”, l’école où je me suis formé au coaching.

Ici, j’utilise l’acronyme “PRÉCIS” d’Alain Bernard (coach formé dans la même école) pour Positif, Réalisable, Écologique, Contextuel, Indicateurs (de réussite) et Spécifique.

Pour faire simple, voici quelques objectifs de mauvaise qualité :

“Je veux être moins tendu quand je joue du piano.”

“Mon objectif est de maîtriser une valse de Chopin.”

“Je veux fabriquer un moteur à eau en 3 semaines pour coloniser Vénus dans un mois !”

Ces objectifs ne respectent pas les 6 points de réflexions de l’objectif PRÉCIS qui garantissent qu’un objectif est de qualité.

Si votre objectif ne répond pas aux 6 critères, il est nécessaire de l’affiner.
Voici les questions de l’outil PRÉCIS en gras et mes réponses détaillées en italiques.

Outil de clarification de l’objectif : le PRÉCIS

Positif

Qu’est-ce que je veux exactement, en terme positif ?
=> Je veux maîtriser au moins 8 de mes chansons et les interpréter sur scène, à Lyon, la semaine du 15 Octobre. 

Réalisable

Est-il matériellement possible de réaliser mon objectif  ?

=> Je pense qu’il est possible de trouver un bar à Lyon pour m’accueillir. Je m’en occuperai en fin août.  

=> Pour la prise de son pendant le concert, je vais demander de l’aide à un ami qui se forme à la prise de son au cinéma.

=> Tout dépend du temps que je peux accorder au travail de mon projet et de mon efficacité. Je pense qu’il me faut au moins 2 heures par jour6 jours sur 7. (1h de travail technique de la guitare, 30 minutes de travail voix + instruments, et 30 minutes d’enregistrement; je pense qu’au fur et à mesure de mon avancement ces proportions vont évoluer vers plus de travail d’enregistrement et moins de travail technique) 

Est-ce que je vais réussir à trouver ces 2 heures chaque jour ? Étant formateur en école supérieure j’ai pas mal de temps libre jusqu’à fin septembre maintenant que j’ai fini ma période de prospection. Cependant, je vais publier un à deux articles par semaine sur mon blog et je pars en vacance à IBIZA une douzaine de jours. J’aurai normalement accès à une guitare sur place. En revanche, je ne pourrais pas effectuer un travail d’enregistrement.

En conclusion, je pense que je pourrais trouver ces 2 heures par jour pour 90 % de cette période. Cependant, tout dépend des progrès que je vais faire et donc de l’efficacité de mon plan de travail et de ma capacité à ajuster celui-ci en temps réel. D’ailleurs, j’ai commencé à définir mon plan de travail et je publierai la semaine prochaine.

Écologique

Peut-il exister des conséquences négatives pour moi ou pour les autres ?
=> Non, ma compagne est au fait de mon objectif et je garde tout de même du temps à lui consacrer. Personne d’autre n’est susceptible d’être impacté négativement.

Contextuel

Où et quand je désire mettre en place mon objectif ?
=> Pour la préparation : je vais la mettre en place au quotidien chez moi et également en vacance à hauteur d’une heure par jour minimum.

=> Pour la réalisation : je vais trouver un bar à Lyon pour m’y produire un jour de la semaine du 15 octobre 2018.

 Indicateurs (de réussite)

Qu’est-ce qui me permettra de savoir que j’ai atteint mon objectif ?
Qu’est-ce que je ressentirai ?
=> Alors là, c’est simple ! Si je joue l’ensemble de mes morceaux sur scène en m’exprimant pleinement, en étant confiant et détendu dans mon jeu de guitare.,je saurai que j’ai atteint mon objectif. À condition bien-sûr que le concert soit filmé en retransmis en live sur OuiMusique ! 

 Spécifique (au coaché)

Est-ce que cet objectif dépend uniquement de moi ?
=> Oui, oui et encore oui !!!

​En conclusion​​​​​

Voilà un objectif un peu plus précis.

Maintenant à moi de bosser efficacement deux heures par jour.

Car c’est là seul zone d’ombre qui peut confirmer ou non le fait que mon objectif soit réaliste et atteignable ! 
Pour télécharger le PDF avec les questions de l’outil PRÉCIS, cliquez-ici.

Quant à moi, je vous retrouve la semaine prochaine pour vous présenter mon plan de bataille et vous faire un premier retour sur celui-ci.

Mais avant de vous quitter, je veux vous poser une question enfin plutôt deux questions.

          => Avez-vous déjà tenté d’atteindre un objectif qui vous semblait peu évident à accomplir ?
         => Quelle était votre plus grosse difficulté dans cette démarche ? 

Bien-sûr, si vous voulez réagir à cet article, partagez vos critiques et conseils, écrivez simplement dans l’onglet ci-dessous dédié à cet effet.

Avec confiance et motivation Winking smile

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